Sexualité et tolérance
- Merci à Yul pour cette annexe -
I - Terrans
Chez les Terrans, rien de plus simple ! Au cours des centaines d’années passées sur le Vidar, la vision de la société a continué à évoluer concernant la sexualité, et tout le monde est dorénavant logé à la même enseigne : que vous soyez lesbienne, gay, bi, pan, ace, demi, ou tout autre orientation appartenant au spectre LGBT+, il ne vous en sera pas tenu rigueur, pas plus que tout autre personne hétéro, cela étant aussi valable bien sûr pour l’attraction romantique. Cela s’étend aussi au genre : transsexuels, transgenres, genre-fluides et autres sont là encore acceptés (même si, d’un point de vue purement RP, certaines de ces déclinaisons ne sont pas forcément les plus faciles à jouer, surtout dans un univers comme Noren).
Attention, cependant : si sur le Vidar, votre orientation sexuelle/romantique n’aura pas la moindre importance, ce n’est pas le cas dans le reste de Noren ! Rappelez-vous en, lorsque vous déciderez des attractions de votre personnage.
Pour ce qui est de la contraception, un système hormonal à grande échelle a été développé sur tout le Vidar. Un implant sous la peau, activable et désactivable à volonté, permet ainsi aux Terrans, hommes comme femmes, de contrôler leur contraception à leur guise. Cet implant est rechargeable par simple injection. Il existe bien sûr de plus des préservatifs, puisque l’implant ne protège pas des MST (bien qu’avec les politiques de santé successives du Vidar, celles-ci ont considérablement diminué).
II – Ivrians
Les Ivrians sont un peuple très traditionnel, et déroger aux règles est donc interdit et parfois même punissable. N’essayez donc même pas de vous aventurer vers des relations avec des personnes du même sexe que vous : l’Empire cherche à fructifier, et cela passe aussi par le fait d’assurer son renouvellement, plaçant donc la famille au centre de sa vision des choses. Gare à vous si vous vous faites prendre à avoir une aventure hors du lit familial, peu importe le sexe de votre partenaire. Il risque de vous en cuire, d’autant plus si l’adultère est accompagné d’homosexualité.
Cela explique aussi que la contraception soit très mal vue chez les Ivrians. Personne ne viendra vérifier ce que vous faites sous vos draps, certes, mais un couple avec une vie sexuelle supposément saine risque d’éveiller les soupçons si, au bout de quelques années, aucun enfant n’en est né. Bien sûr, on pensera d’abord que l’un des époux est stérile, mais mieux vaut que personne n’apprenne que vous utilisez un quelconque moyen de contraception.
III - Naidiens
Chez les Naidiens, on retrouve une vision proche de l’Empire, même si dans une moindre mesure. La famille est toujours mise sur un piédestal, mais en raison de leur place limitée, ils ont appris à faire des concessions. Si l’homosexualité est toujours aussi mal vue que chez les Ivrians, la contraception, quant à elle, a progressivement fait son entrée dans les mœurs. Elle reste un sujet tabou, seulement évoqué au sein du couple, aucune déclaration officielle n’incitant à limiter le nombre d’enfants, mais il n’empêche qu’elle est régulièrement utilisée.
Il s’agit ainsi soit d’utiliser les boyaux de certains animaux comme un préservatif primitif (méthode peu utilisée, en raison du manque de praticité pour se procurer lesdits boyaux, on ne va pas ouvrir un animal tous les soirs, si ?), soit de s’abstenir, soit – et c’est là la méthode la plus répandue et la plus fiable – d’interrompre le coït.
IV - Qiang
Les Qiang étant une société matriarcale, la vision des relations y est particulière, et déterminée par le sexe et le statut de l’individu. Les femmes y sont ainsi relativement libres : bien que fortement invitées à fonder une famille et avoir des enfants, personne ne cherchera à savoir ce qu’elles font hors du lit conjugal, peu importe le partenaire en question. De même, les femmes encore en formation ou dans l’armée, un statut ne leur permettant pas de fonder une famille de manière raisonnable, sont là encore assez libres de leur choix. Cette notion de liberté restant toute relative : s’il n’est pas dérangeant de les voir au salon de thé avec une « amie », elles ne vont quand même pas se balader main dans la main dans la rue. Toléré ne veut pas dire encouragé.
Pour les hommes, par contre, pas de choix possible : ils doivent rester fidèles à leur famille et ne rien entreprendre qui pourrait entacher la réputation de leur femme. Pas de relations adultères donc, et encore moins avec des hommes, au risque de se faire marquer, ou pire, castrer.
Pour ce qui est de la contraception, elle est relativement bien connue des femmes Qiang, et vastement utilisée dans toutes les relations non conjugales. Elles utilise ainsi la méthode du pessaire, une pâte constituée notamment d’épines d’acacia finement broyées (contenant de la gomme arabique, réputée comme spermicide), de miel et d’autres matériaux variant selon ce qu’elles ont à disposition par exemple de la fiente de crocodile, des dattes, diverses plantes, … Le tout est ensuite étalé sur un tissu et inséré profondément dans le vagin, où il reste plusieurs années. Bien qu’efficace, la méthode n’est cependant pas infaillible.
V - Nakhta
Pour les Nakhta, si l’homosexualité n’est pas le sujet d’une chasse aux sorcières comme cela pourrait être le cas chez les Ivrians ou les Naidiens, elle reste quand même peu appréciée. Mieux vaut donc ne pas faire trop de vagues, si jamais votre personnage venait à s’enticher de quelqu’un du même sexe que lui.
Valorisant la connaissance, il est normal que les Nakhta se soient aussi penchés sur le domaine de la contraception. Malheureusement, le sujet restant très tabou et peu toléré, ladite connaissance ne se transmet généralement qu’entre petits groupes, souvent familiaux, et reste peu utilisée. Certains ont ainsi emprunté l’idée des guerrières Qiang, tandis que d’autres ont choisi des méthodes relevant de la culture Naidienne.
Chez les Terrans, rien de plus simple ! Au cours des centaines d’années passées sur le Vidar, la vision de la société a continué à évoluer concernant la sexualité, et tout le monde est dorénavant logé à la même enseigne : que vous soyez lesbienne, gay, bi, pan, ace, demi, ou tout autre orientation appartenant au spectre LGBT+, il ne vous en sera pas tenu rigueur, pas plus que tout autre personne hétéro, cela étant aussi valable bien sûr pour l’attraction romantique. Cela s’étend aussi au genre : transsexuels, transgenres, genre-fluides et autres sont là encore acceptés (même si, d’un point de vue purement RP, certaines de ces déclinaisons ne sont pas forcément les plus faciles à jouer, surtout dans un univers comme Noren).
Attention, cependant : si sur le Vidar, votre orientation sexuelle/romantique n’aura pas la moindre importance, ce n’est pas le cas dans le reste de Noren ! Rappelez-vous en, lorsque vous déciderez des attractions de votre personnage.
Pour ce qui est de la contraception, un système hormonal à grande échelle a été développé sur tout le Vidar. Un implant sous la peau, activable et désactivable à volonté, permet ainsi aux Terrans, hommes comme femmes, de contrôler leur contraception à leur guise. Cet implant est rechargeable par simple injection. Il existe bien sûr de plus des préservatifs, puisque l’implant ne protège pas des MST (bien qu’avec les politiques de santé successives du Vidar, celles-ci ont considérablement diminué).
II – Ivrians
Les Ivrians sont un peuple très traditionnel, et déroger aux règles est donc interdit et parfois même punissable. N’essayez donc même pas de vous aventurer vers des relations avec des personnes du même sexe que vous : l’Empire cherche à fructifier, et cela passe aussi par le fait d’assurer son renouvellement, plaçant donc la famille au centre de sa vision des choses. Gare à vous si vous vous faites prendre à avoir une aventure hors du lit familial, peu importe le sexe de votre partenaire. Il risque de vous en cuire, d’autant plus si l’adultère est accompagné d’homosexualité.
Cela explique aussi que la contraception soit très mal vue chez les Ivrians. Personne ne viendra vérifier ce que vous faites sous vos draps, certes, mais un couple avec une vie sexuelle supposément saine risque d’éveiller les soupçons si, au bout de quelques années, aucun enfant n’en est né. Bien sûr, on pensera d’abord que l’un des époux est stérile, mais mieux vaut que personne n’apprenne que vous utilisez un quelconque moyen de contraception.
III - Naidiens
Chez les Naidiens, on retrouve une vision proche de l’Empire, même si dans une moindre mesure. La famille est toujours mise sur un piédestal, mais en raison de leur place limitée, ils ont appris à faire des concessions. Si l’homosexualité est toujours aussi mal vue que chez les Ivrians, la contraception, quant à elle, a progressivement fait son entrée dans les mœurs. Elle reste un sujet tabou, seulement évoqué au sein du couple, aucune déclaration officielle n’incitant à limiter le nombre d’enfants, mais il n’empêche qu’elle est régulièrement utilisée.
Il s’agit ainsi soit d’utiliser les boyaux de certains animaux comme un préservatif primitif (méthode peu utilisée, en raison du manque de praticité pour se procurer lesdits boyaux, on ne va pas ouvrir un animal tous les soirs, si ?), soit de s’abstenir, soit – et c’est là la méthode la plus répandue et la plus fiable – d’interrompre le coït.
IV - Qiang
Les Qiang étant une société matriarcale, la vision des relations y est particulière, et déterminée par le sexe et le statut de l’individu. Les femmes y sont ainsi relativement libres : bien que fortement invitées à fonder une famille et avoir des enfants, personne ne cherchera à savoir ce qu’elles font hors du lit conjugal, peu importe le partenaire en question. De même, les femmes encore en formation ou dans l’armée, un statut ne leur permettant pas de fonder une famille de manière raisonnable, sont là encore assez libres de leur choix. Cette notion de liberté restant toute relative : s’il n’est pas dérangeant de les voir au salon de thé avec une « amie », elles ne vont quand même pas se balader main dans la main dans la rue. Toléré ne veut pas dire encouragé.
Pour les hommes, par contre, pas de choix possible : ils doivent rester fidèles à leur famille et ne rien entreprendre qui pourrait entacher la réputation de leur femme. Pas de relations adultères donc, et encore moins avec des hommes, au risque de se faire marquer, ou pire, castrer.
Pour ce qui est de la contraception, elle est relativement bien connue des femmes Qiang, et vastement utilisée dans toutes les relations non conjugales. Elles utilise ainsi la méthode du pessaire, une pâte constituée notamment d’épines d’acacia finement broyées (contenant de la gomme arabique, réputée comme spermicide), de miel et d’autres matériaux variant selon ce qu’elles ont à disposition par exemple de la fiente de crocodile, des dattes, diverses plantes, … Le tout est ensuite étalé sur un tissu et inséré profondément dans le vagin, où il reste plusieurs années. Bien qu’efficace, la méthode n’est cependant pas infaillible.
V - Nakhta
Pour les Nakhta, si l’homosexualité n’est pas le sujet d’une chasse aux sorcières comme cela pourrait être le cas chez les Ivrians ou les Naidiens, elle reste quand même peu appréciée. Mieux vaut donc ne pas faire trop de vagues, si jamais votre personnage venait à s’enticher de quelqu’un du même sexe que lui.
Valorisant la connaissance, il est normal que les Nakhta se soient aussi penchés sur le domaine de la contraception. Malheureusement, le sujet restant très tabou et peu toléré, ladite connaissance ne se transmet généralement qu’entre petits groupes, souvent familiaux, et reste peu utilisée. Certains ont ainsi emprunté l’idée des guerrières Qiang, tandis que d’autres ont choisi des méthodes relevant de la culture Naidienne.
Par Moses