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    Entité Supérieure
    Entité Supérieure
    - Divinité - Maître du Jeu -
    Messages : 30
    Date d'inscription : 22/12/2015

    Mon personnage
    Réputation: Divinité suprême
    Célébrité: Incontournable
    Équipement:
    Mar 22 Déc - 21:58


    Contexte


    Noren. Un petit bout de terre qui s’enfonce dans la mer, protégé du reste du monde par une chaîne de montagnes réputée infranchissable. Pendant longtemps, la vie des différentes nations qui s'y côtoient a été rythmée par les guerres : tant que l’empire Ivria cherchait à s’étendre vers l’Ouest, aux dépens du territoire Qiang, les habitants du désert Nakhti se terraient chez eux et le royaume Naidii, vassal de l’Empire, se tenait à carreaux. Le brusque arrêt des hostilités bouleverse la situation de tout le continent.

    Au sein de l’empire Ivria, la rumeur et l’incompréhension courent. Il a suffi d’une rencontre entre le nouvel et tout jeune empereur et le grand heirst, l’oracle officiel, pour que toutes les opérations militaires en cours soient interrompues. D’après certains, si le religieux a quitté sa retraite c’était qu’il avait une prophétie alarmante à révéler, prophétie qui a imposé l’arrêt des campagnes. Pour d’autres, le vieil homme est seulement venu conseiller l’adolescent couronné, et cette paix apparente ne serait que le calme avant la tempête…

    Le vieil ennemi de l'Empire, le territoire Qiang, a d’abord eu du mal à croire à cette trêve inespérée. Pourtant, petit à petit, les échanges diplomatiques et économiques entre les deux nations reprennent. Après tout, les Qiang sont pragmatiques : les affaires sont les affaires, peu importe que leurs clients d’aujourd’hui soient leurs adversaires d’hier et peut-être de demain.

    Cependant, les routes ne sont pas aussi sûres qu’on pourrait le croire. La guerre ne sévit plus mais son arrêt a laissé le champ libre aux nomades du désert Nakhti, qui ont quitté leur pays natal pour hanter les grands axes commerciaux. Une vraie épreuve pour les Qiang et les Ivrians, qui doivent faire front commun pour s’opposer à eux.

    Le malheur des uns fait le bonheur des autres : libérés de leurs anciens bourreaux, les tribus sédentaires du désert peuvent enfin quitter les enceintes des villes et s’ouvrir au monde. L’occasion pour eux de découvrir les influences extérieures mais aussi de faire connaître leur artisanat, qui connaît un essor sans précédent.

    Malgré cela, l’Empire garde les yeux rivés sur le royaume Naidii. Ce pays, à commencer par ses habitants les plus pauvres, a toujours exprimés des velléités indépendantistes. Aussi quand, à la surprise générale, la reine Lilz a affirmé que le royaume était, est et sera toujours un territoire ivrian, la réaction du peuple ne s’est pas fait attendre. De véritables soulèvement ont éclaté. Des villas et des demeures d’aristocrates sont mises à sac, tous les symboles du pouvoir naidien ou ivrian sont attaqués. Face à ces rebelles, la réaction du gouvernement reste molle. Peut-être croit-il que tout cela ne durera pas ?


    Mais un événement inattendu pourrait venir encore tout compliquer : un objet est tombé du ciel et s’est écrasé dans un coin reculé de l’empire Ivria, près de la frontière avec le désert Nakhti. Cet objet, c’est le Vidar 87-04, un vaisseau spatial. Un bâtiment terran qui, après avoir erré cinq siècles durant, a découvert l’exo-planète qu’il espérait mais à laquelle il ne croyait plus. Cependant, une erreur d’appréciation de la gravité a transformé l’atterrissage en crash.

    Les pertes humaines sont élevées mais les pertes matérielles sont plus grandes encore. Par chance, les réserves de nourriture ont été épargnées, et la majeure partie du matériel de base est récupérable. Les armes à feu, elles, étaient presque entièrement stockées dans la partie du Vidar qui a été fracassée. Les rares encore en état de marche ont été réquisitionnées et mises sous clés, afin de garder les munitions pour les cas d’absolue nécessité. Les Terrans se retrouvent donc à la merci d’un monde dont ils ne savent rien des habitants ou du niveau de technologie, avec comme seul moyen de défense des épées fabriquées dans l’urgence.


    Comment les autochtones vont accueillir ces nouveaux venus,
    en ces temps où leurs propres situations sont en pleine évolution ?






    Entité Supérieure
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    - Divinité - Maître du Jeu -
    Messages : 30
    Date d'inscription : 22/12/2015

    Mon personnage
    Réputation: Divinité suprême
    Célébrité: Incontournable
    Équipement:
    Lun 4 Avr - 15:59


    Carte interactive et légendée


    Site d'atterrissageLieu du crash du Vidar 87-04. Autour du vaisseau brisé en deux, un campement a été érigé par les survivants terrans. Coincés entres les falaises et la forêt Haï, ces derniers restent groupés et ne s'éloignent pas dans l'inconnu.
    Les Terrans ont mis en place des postes de garde, préférant se montrer prudents. En revanche, comme ils connaissent mal le terrain, la surveillance est maladroite et incomplète. Un Norien discret saurait pénétrer dans le campement endormi. En fait, la véritable raison de cette sécurité est surtout d'empêcher les intrépides ou les indépendants de s'éloigner de trop.

    HinideCapitale de l'Empire, Hinide est une splendide cité lovée entre le lac  salé et la chaîne de montagnes. Protégée par ces deux éléments, cette ville ancienne a pu être préservée. Ses portes sont très surveillées : les ennemis de l'Empire fichés sont refoulés. Dans les rues, aucun trouble à l'ordre public n'est toléré. Les ivrognes, les bagarreurs ou encore les voleurs sont très vite retrouvés. Et encore plus rapidement s'ils sont qiang. Les passants qui se baladent en ces rues feraient donc mieux de se tenir parfaitement à carreaux s'ils ne veulent pas être jetés au fond d'un cul-de-basse-fosse. Ou pire.

    La barrière Irsh-AllaiCette chaîne de montagne culmine à plus de 4 000 m. Elle est réputée infranchissable, et il est de toute façon interdit de tenter de la traverser. Quelques villages s'y sont implantés, mais seulement dans les vallées les plus basses. Au-dessus de 1 000 m, le relief est très découpé. Les gouffres qui barrent le paysage et le climat très difficile découragent la plupart des aventuriers. Les seuls signes de vie sont les bêtes sauvages qui grouillent (bouquetins et autres herbivores paisibles, mais aussi ours et loups), les moines de Muvaï et quelques pénitents dont le courage n'a d'égal que la gravité de la faute qu'ils essaient d'expier.

    KokoraKokora est la forteresse des Qiang, leur cité originelle. C'est là que se tiennent la plupart des célébrations officielles telles que l'investiture ou la destitution des Généralissimes ou les cérémonies d'hommage aux soldates tombées à la guerre. Le camp d'entraînement s'y trouve aussi, et la légende dit qu'un important trésor de guerre est caché dans les souterrains. Si vous n'êtes pas une femme qiang, il vous sera quasi impossible d'y pénétrer.

    PendenPenden est la capitale du territoire Qiang. C'est là que siègent les organes administratifs et judiciaires du pays, et la Généralissime y vit quand elle n'est pas sur le front. C'est une ville dynamique, sérieuse aussi bien dans le commerce que dans la célébration des fêtes traditionnelles. Avec le retour de la paix, elle a tous les atouts pour attirer un large public, depuis les marchands jusqu'aux aventuriers à la recherche d'exotisme. Seul obstacle : la méfiance ancestrale des Qiang vis-à-vis des étrangers. À moins que l'arrêt des guerres permettent de détendre les relations et d'apprendre à se connaître.

    UshiConstruite sur la côte, Ushi a vu une partie de ses rues se faire inonder lors de la montée des eaux, quelques siècles plus tôt. Qu’à cela ne tienne, les habitants se sont adaptés. Grand port de commerce, la guerre l’a obligé à se reconvertir mais sans grand succès. Il a brièvement abrité des navires militaires mais il est vite apparu que les combats les plus importants ne se joueraient pas sur l’eau. Alors depuis, Ushi vit de la pêche et, surtout, de la venue des riches de capitale désireux de passer du bon temps sur la côte.

    Marché TadalaLe marché Tadala a été construit dans le but de devenir le plus grand carrefour marchand de Noren – et il l’a longtemps été. Sa position proche à la fois du territoire Qiang et de l’empire Ivria en faisait un point de rencontre et d’échange incontournable. Puis est venue la guerre et les contacts entre les deux nations ont cessé. Tadala a périclité puis s’est un peu redressé. Aucun doute que la fin des hostilités va permettre à la ville de retrouver sa prospérité d’antan.

    KelfiweKelfiwe est la capitale des Nakhta sédentaires. La ville est organisée en cercles concentriques autour du palais royal, séparés par de solides murs. Le dernier englobe plusieurs points d’eau et les champs des habitants. Grâce à cela, la ville est la seule du désert à n’être jamais tombée face aux nomades. Paisible, c’est un endroit où il fait bon vivre – à condition de supporter le climat.

    Abris des nomadesPar définition, les nomades passent la plus grande partie de l’année sur les routes. À l’origine, ils parcouraient le désert à la recherche de petits villages ou de caravanes marchandes à piller, jusqu’à la saison des tempêtes où ils venaient s’abriter dans ces cavernes. C’était aussi l’occasion pour les différents clans de se retrouver et d’échanger sous la protection d’une trêve. Mais depuis le retour de la paix en Noren et l’extension du terrain de chasse des nomades, combien d’entre eux respecteront la tradition et reviendront là à la mauvaise saison ?

    LayaneLayane est la ville la plus septentrionale de l’Empire. Située sur la côte, elle vit principalement de la pêche, ainsi que de la sylviculture. Vivant dans une région reculée et difficile d’accès à cause de la neige la moitié de l’année, les habitants de sont pas habitués à voir des étrangers, en dehors des marchands de la capitale avec lesquels ils font affaire et de rares couples venant jusqu’ici adopter des orphelins du plus grand orphelinat du pays. Certains ont tendance à se montrer bourru, au premier abord, mais la nécessité de s’entraider pour survivre dans cet environnement a soudé la communauté.

    CairneCairne, située au sud de la capitale, est une ville de voyous ou de marchands peu scrupuleux. Elle est dirigée par une mafia locale, les soldats de Votigern, qui s’enrichit grâce aux taxes imposées à la population locale. Les étrangers doivent rapidement montrer leur soumission à leurs règles, telles que l’interdiction du commerce sans autorisation de la part de la mafia ou du proxénétisme dont ils ont le monopole. En règle générale, toutes les affaires ne pouvant pas se conclure dans la capitale viennent s’installer dans cette ville alors que les nobles et les Ivrians respectables l’évitent soigneusement.

    TaleheTalehe a été construite à cheval sur le fleuve Chielso, sur ordre l'Empire et d'après les standards ivrians, avec l'idée d'y faire venir le gouvernement naidien et de pouvoir mieux le contrôler. Pendant des décennies, pourtant, les rois naidiens ont refusé de s'y installer. La ville est restée un lieu de passage entre le royaume et l'Empire, sans jamais se développer comme l'a pu faire Taytambo. Puis le peuple de la capitale s'est révolté suite aux déclarations de la reine et le gouvernement, ainsi que l'aristocratie, s'est réfugié à Talehe. Pour leur faire de la place, toute la population modeste du quartier de la rive gauche a été déplacé vers la rive droite avec interdiction de traverser le pont, ce qui n'est pas du goût de tous.

    QuendaQuenda est le grand monastère naidien. Depuis la montée des eaux qui a affecté Noren quelques siècles plus tôt, il est complètement coupé de la terre, isolé au milieu de l'eau à quelques mètres de la côte. Les moines y prient constamment pour éviter la submersion du royaume et conservent toutes les connaissances dont il dispose. C'est aussi un lieu de retraite très apprécié par les Naidiens, qui peuvent aussi bien y passer quelques jours au moment des fêtes religieuses que plusieurs mois s'ils traversent une grave crise existentielle.

    TaytamboCapitale historique du royaume Naidii, Taytambo paraît aujourd'hui presque déserte. La déclaration de la reine Lilz quant à la dépendance du royaume à l'empire Ivria a déclenché une révolte populaire. Le gouvernement, la plupart des Grandes Familles et les quelques Ivrians qui vivaient là ont préféré fuir et se réfugier à Talehe, plus proche de la protection de l'Empire. Seuls de rares nobles connus pour être farouchement en faveur de l'indépendance naidienne ont osé rester. La rébellion s'est maintenant calmée mais a laissé des traces : le palais et la majorité du quartier noble, la Colline aux fleurs, ont été dévastés.




    ► Il est fortement conseillé de lire Voyager à Noren afin d'obtenir plus d'informations, notamment sur le temps de voyage entre les villes. ◄

  • Le peuple Nakhti est divisé en deux : d'un côté, les sédentaires, vivant dans les villes qu'ils ont bâti à l'intérieur des terres et de l'autre les nomades, vivant de pillages et de la chasse. Ces derniers sont craints, de par leur violence et leur mode de vie.
  • La frontière entre l'Empire et le territoire Qiang est difficilement franchissable. Ainsi, dans les montagnes, seule une vallée est praticable mais bouchée par une porte gardée, tout comme le passage entre la forêt Haï et la chaîne de montagne.
  • Le royaume Naidii : Il se divise en trois zones : la partie continentale, appelée la terra Politania, où se trouve la nouvelle capitale Talehe ; une île occidentale, Uida, avec notamment le monastère Quenda ; une île orientale, Ardor, où se dresse la capitale historique Taytambo.
  • La forêt Haï : Au dessus du site d'atterrissage, le long de la frontière entre le territoire Qiang et l'Empire, la forêt Haï est à la fois crainte et respecté. Il est très dur de la traverser, tant elle est dense et sombre. Seuls quelques Qiang téméraires savent en ressortir sans soucis. Les Terrans n'osent pas y pénétrer car il leur semble entendre des murmures se faufiler entre les troncs.


  • Codé par Eli. La carte a été faite par Poupou sur epicode


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