Deux semaines après la paix
C’était tellement étrange de déambuler dans les rues d’une ville qui ne soit pas soumise à la culture de l’empire. La paix n’était déclarée que depuis quelques jours, mais Sety n’avait pas une seule seconde hésitée à se rendre en terre autrefois ennemie. Après tout, elle se trouvait à proximité de la frontière et elle était une marchande, alors pourquoi se priver ?
Sety avait profité de la protection du capitaine de colonne Jackson pour vivre quelques jours dans le camp et partager ses connaissances avec l’armurier local. Enfin, c’était surtout lui qui avait parlé. Finalement, quand la colonne à reçue l’ordre de lever le camp. Sety, plutôt que de suivre le mouvement, avait pris la direction de la frontière. Les gardes Qiangs avaient fait pas mal de difficultés lors du passage. Mais une femme seule semblait leur inspirer plus de confiance qu’un homme visiblement. De plus, Sety maitrisait d’une façon très correcte la langue de ce pays. Ce qui à n’en pas douté avait dû aider.
La voici, peu de temps après marchant dans les rues de Penden. Sa tête attirait l’attention mais beaucoup moins que ce à quoi s’attendait la jeune armurière. Si la plupart des visages étaient clairement typés avec des yeux bridés. On pouvait voir des Nahtkis et ce qui semblaient être des Naidiens, tous peut nombreux et visiblement de passage, mais au moins Sety se sentait moins seule. Même si jamais de sa vie, elle n’irait parler à un de ces ingrats de sudistes.
Vent lui avait raconté que chez les Qiangs, c’étaient les femmes qui dictaient la loi. Aussi il était étrange de voir une image totalement inversée. Les hommes lavaient le linge et les femmes patrouillaient. Sety se perdit pendant plusieurs heures dans les rues de la ville, découvrant à chaque instant une nouveauté. Mais le but de la jeune ivrianne était de trouver une forge qiang, un armurier de préférence. Il y avait une grande différence entre apprendre les techniques d’un pays et les voir en application dans le dit pays.
Finalement, ses recherches furent récompensées quand elle finit par tomber par une petite forge bien tenue et propre. De beaux outils et de belles armes ornaient les murs, la forge ronflait telle une bouche de feu. C’était beaucoup plus petit que chez elle, mais une forge serait toujours un peu une partie d’elle. Il y avait une cliente avant Sety, une grande femme aux cheveux blancs à l’air très strict, probablement une pragmatique, comme Sety. Elle semblait négocier une lame au cours d’une âpre discutions. Le forgeron semblait camper sur ses positions, la discutions risquait de s’éterniser, mais
Sety était disposée à attendre. Aussi, elle se perdit dans la contemplation d’une arme, un sabre court fait d’un métal aux reflets surprenants.
Brody avait souvent parlé du redoutable tranchant de ces lames, plus d’une armure et plus d’un membre fut cruellement tailladé. C’était du beau métal, Sety sorti sa propre lame et compara comment la lumière coulait sur le métal. Un brin arrogante, la jeune armurière trouvait son épée largement plus belle et supérieure dans son tranchant et sa solidité.
Une voix dans son dit :
- Je ne fais pas les échanges, vous voulez cette lame, vous la payez étrangère.
Sety reposa l’épée et se retourna pour parler au marchand. Mais dans son geste, elle percuta la cliente et les fit toutes les deux trébucher. Elle marmonna un désolé horrifié quand elle fit que son épée avait déchirée les vêtements de l’inconnue…
Sety avait profité de la protection du capitaine de colonne Jackson pour vivre quelques jours dans le camp et partager ses connaissances avec l’armurier local. Enfin, c’était surtout lui qui avait parlé. Finalement, quand la colonne à reçue l’ordre de lever le camp. Sety, plutôt que de suivre le mouvement, avait pris la direction de la frontière. Les gardes Qiangs avaient fait pas mal de difficultés lors du passage. Mais une femme seule semblait leur inspirer plus de confiance qu’un homme visiblement. De plus, Sety maitrisait d’une façon très correcte la langue de ce pays. Ce qui à n’en pas douté avait dû aider.
La voici, peu de temps après marchant dans les rues de Penden. Sa tête attirait l’attention mais beaucoup moins que ce à quoi s’attendait la jeune armurière. Si la plupart des visages étaient clairement typés avec des yeux bridés. On pouvait voir des Nahtkis et ce qui semblaient être des Naidiens, tous peut nombreux et visiblement de passage, mais au moins Sety se sentait moins seule. Même si jamais de sa vie, elle n’irait parler à un de ces ingrats de sudistes.
Vent lui avait raconté que chez les Qiangs, c’étaient les femmes qui dictaient la loi. Aussi il était étrange de voir une image totalement inversée. Les hommes lavaient le linge et les femmes patrouillaient. Sety se perdit pendant plusieurs heures dans les rues de la ville, découvrant à chaque instant une nouveauté. Mais le but de la jeune ivrianne était de trouver une forge qiang, un armurier de préférence. Il y avait une grande différence entre apprendre les techniques d’un pays et les voir en application dans le dit pays.
Finalement, ses recherches furent récompensées quand elle finit par tomber par une petite forge bien tenue et propre. De beaux outils et de belles armes ornaient les murs, la forge ronflait telle une bouche de feu. C’était beaucoup plus petit que chez elle, mais une forge serait toujours un peu une partie d’elle. Il y avait une cliente avant Sety, une grande femme aux cheveux blancs à l’air très strict, probablement une pragmatique, comme Sety. Elle semblait négocier une lame au cours d’une âpre discutions. Le forgeron semblait camper sur ses positions, la discutions risquait de s’éterniser, mais
Sety était disposée à attendre. Aussi, elle se perdit dans la contemplation d’une arme, un sabre court fait d’un métal aux reflets surprenants.
Brody avait souvent parlé du redoutable tranchant de ces lames, plus d’une armure et plus d’un membre fut cruellement tailladé. C’était du beau métal, Sety sorti sa propre lame et compara comment la lumière coulait sur le métal. Un brin arrogante, la jeune armurière trouvait son épée largement plus belle et supérieure dans son tranchant et sa solidité.
Une voix dans son dit :
- Je ne fais pas les échanges, vous voulez cette lame, vous la payez étrangère.
Sety reposa l’épée et se retourna pour parler au marchand. Mais dans son geste, elle percuta la cliente et les fit toutes les deux trébucher. Elle marmonna un désolé horrifié quand elle fit que son épée avait déchirée les vêtements de l’inconnue…